Il s’agirait de « zones grises » où la couverture 4G est à peine assurée, ou où 60 pour cent de la population n’atteint pas 30 Mbps.
De Backer propose maintenant au Conseil des ministres d’accorder aux opérateurs une réduction dans ces zones grises. Ainsi, 80% du prix de revient des liaisons radio disparaîtraient.
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Aujourd’hui, il y a encore 23 zones. Au début de la législature, ils étaient encore 39. Les « zones grises » se situent principalement en Wallonie et en Belgique germanophone. En Flandre, les citoyens ont déjà souffert d’une mauvaise connexion Internet, voire d’une connexion inexistante, dans les Ardennes flamandes, le Westhoek et le sud du Limbourg.
Le plan trouve ses racines dans l’assemblée législative du prédécesseur de De Backers, Alexander De Croo. Dès octobre 2016, il constate que 39 communes wallonnes sont maudites par le mauvais internet.
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